Match Maroc-Argentine, des précisions …

Le 26 mars, un match de football est prévu, comme chacun sait désormais, entre les équipes nationales marocaine et argentine. Plusieurs rumeurs concernent les conditions extravagantes et insolites qui auraient été transmises par la fédération argentine à celle du Maroc, des exigences qui portent essentiellement sur le comportement des joueurs marocains avec la star de l’équipe, Léo Messi.

Une rencontre amicale, qui même avant qu’elle n’ait lieu, fait déjà beaucoup de bruit. Notre confrère Al Akhbar affirmait le 5 mars que les joueurs marocains n’auront pas le droit de tacler le capitaine argentin sur la pelouse, que l’échange des maillots qui a lieu traditionnellement à la fin d’un match sera interdit, et que les joueurs ne pourront pas se prendre en photo avec le joueur.

Panorapost a contacté une source proche de la FRMF, qui lui a affirmé que ces allégations ne sont pas vraies. Elles sont même fausses… S’agissant du contrat, son montant s’élève à « 1 million de dollars, conclu de fédération à fédération, comme cela avait été le cas en 2004, avec les droits télé détenus par les...

Marocains ». Et à cette époque, Messi était encore un adolescent boutonneux…

Concernant la clause qui interdit les joueurs marocains de tacler Lionel Messi sur la pelouse, la même source dément catégoriquement. Avant de commenter l’histoire des selfies avec le public, « de toutes les manières le public n’approche jamais les joueurs, au Maroc ou ailleurs  ».

Avant de finir, notre source a ajouté que c’est « un avion marocain (ou affrété par la FRMF) qui ira tous (les Argentins, NDLR) les chercher au Venezuela », après le match amical qui aura lieu le 23 mars entre le Venezuela et l’Argentine.

La même source a affirmé que la Fédération publiera un communiqué dans peu de temps.

Ce serait en effet utile car la rumeur court, entraînant avec elle la mauvaise humeur. Si l’affaire, selon les affirmations de notre source, est bénéfique pour le Maroc (qui gagnera de l’argent avec les billets, la pub et les droits télé), le silence de Fouzi Lekjaâ et de « sa » fédération, plus de 36 heures après, est (toujours) consternant. Il est vrai qu’il est occupé ailleurs avec son affaire de Berkane !

MB