Droits de l’homme : Ramid à Genève pour la 40ème session du CDH
La 40ème session ordinaire du Conseil des droits de l’homme (CDH) a débuté lundi à Genève, avec la participation d’une délégation marocaine représentée par le ministre d’Etat chargé des Droits de l’Homme, Mustapha Ramid.
Durant cette session, qui se tient du 25 février au 22 mars au Palais des Nations à Genève, le Conseil examinera plus de cent vingt rapports présentés par des experts des droits de l'homme et autres organes d’enquête concernant de nombreux thèmes et intéressant la situation des droits de l'homme dans près de cinquante pays.
Au total, le Conseil tiendra plus de trente-cinq débats interactifs avec des titulaires de mandats, selon un communiqué du service d’information de l’Office des Nations Unies à Genève.
La principale des trois sessions de cette année – d’une durée de quatre semaines, contre trois semaines pour les sessions de juin et de septembre – commencera par un débat de haut niveau auquel prendront part près de cent hauts dignitaires qui traiteront de questions relatives aux droits de l'homme ayant un intérêt particulier pour leur pays ou qui suscitent leur préoccupation.
Le Conseil sera saisi, mercredi, du rapport annuel présenté par le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Michelle Bachelet, avec qui il tiendra un débat interactif jeudi.
Le premier jour de la session, le Conseil tiendra une réunion-débat consacrée aux droits de l’homme envisagés dans le contexte du multilatéralisme.
Après le débat de haut niveau qui ouvrira la session, le Conseil sera saisi de plusieurs rapports préparés à sa demande par les titulaires de mandats au titre des procédures spéciales.
La séance d’ouverture, tenue sous la présidence du représentant permanent du Sénégal auprès de l’Office des Nations Unies à Genève, Coly Seck, est marquée par la présence du Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, du Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, et de la Présidente de l’Assemblée générale des Nations Unies, María Fernanda Espinosa.
La Rédaction