Le Maroc participe à la réunion des chefs d’états-majors et des services de sécurité africains
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- 08 janvier 2018 --
- Bref
Les travaux de la 13ème réunion ordinaire des Chefs d'Etat-major et des Chefs de services de sûreté et de sécurité africains se sont ouverts, lundi, au siège de l'Union africaine (UA), à Addis-Abeba, avec la participation du Maroc. La cérémonie d'ouverture a été marquée par une minute de silence en mémoire des soldats de maintien de la paix et des victimes de violence en Afrique, suivie de l'adoption de l'ordre du jour. Lors de cette rencontre, les participants seront appelés à examiner une série de questions importantes relatives à la sûreté et à la sécurité dans les sociétés africaines, outre l'examen du rapport de la réunion des experts du Comité technique spécialisé sur la Défense, la sûreté et la sécurité (CTSDSS) et l'adoption des conclusions de la réunion des Chefs d'Etat-major et des Chefs de services de sûreté et de sécurité africains. La réunion des experts (5-6 janvier) s'est tenue en préparation de la 13ème réunion ordinaire des Chefs d'Etat-major
et des Chefs de services de sûreté et de sécurité africains, et de la 10ème réunion ordinaire du CTSDSS de l'UA (9 janvier).
Des délégués des Etats membres de l’UA et des Communautés économiques régionales/Mécanismes régionaux (CER/MR) ont participé à cette réunion des experts, dont l’objectif était notamment d’examiner les progrès accomplis dans la mise en œuvre des directives des sessions précédentes du CTSDSS. Sur la base des délibérations et des observations, il a été recommandé notamment d’adopter le plan de travail stratégique de Maputo sur le renforcement de la Force Africaine en Attente (FAA, 2016-2020) et de demander à la Commission de l’UA de mettre à jour le plan de travail à la lumière des recommandations pertinentes contenues dans le Rapport du panel d’experts indépendants sur la vérification, la confirmation et la validation des capacités annoncées à la FAA (2017), d'intégrer les délais, le budget, les indicateurs et les responsabilités et créer un mécanisme "robuste" de suivi et d’évaluation.
MAP