PLF2021: AMCDD appelle à intégrer la durabilité, la résilience, le climat et la justice sociale
La Coalition Marocaine pour le Climat et le Développement Durable (AMCDD) a récemment recommandé d'améliorer le projet de loi de finances pour 2021 en intégrant la dimension de durabilité, de résilience, d'espace, de climat et de justice sociale post Covid, afin que les efforts financiers pour alimenter l'économie et les entreprises soient à la mesure de la nécessité d'un décollage économique. Partenaires et grands pays pour surmonter les répercussions de la pandémie.
Sur sa page Facebook, la Coalition marocaine pour le climat et le développement durable déclare qu'elle aspire après le passage de la loi de finances de la Chambre du Parlement et du gouvernement à remédier à la situation à travers l'intégration des exigences adaptées à l'ampleur des changements majeurs des partenaires stratégiques du Maroc, afin qu'il puisse sortir de l'économie de crise, un nouvel établissement pour la mise en place du développement Alnmodj nouveau papa voulait Tous sont économiquement durables, écologiquement et socialement intégrés.
Dans une déclaration très exhaustive, l'AMCDD propose quelques remarques:
- Une loi financière prenant en compte les répercussions de la pandémie: Sur ce volet, elle précise qu'on doit faire face à la crise avec des capacités financières qu’on n'a pas ; cependant, on n’a pas le droit d'hypothéquer l'avenir de nos enfants avec des projets qui les endettent et qui ne protègent pas leurs ressources et leurs systèmes vitaux.
- Une adaptation rapide aux exigences du plus grand marché étranger dans les domaines du tourisme. Sur ce point, l'alliance propose de soutenir la classe ouvrière pour assurer la continuité de ses moyens d'existence. Ainsi plusieurs points sont soutenus:
services et d’alimentation.
- Adopter une politique économique, sociale et environnementale nationale à moyen terme Et le lointain pourra répondre aux besoins de tous les groupes et secteurs à travers un nouveau modèle de développement. Pour cela, l'AMCDD estime que la sortie de la crise aiguë que vit le Maroc, comme le reste du monde, ne sera pas faite par un projet budgétaire classique relatif à un modèle économique et social devenu impossible au vu des changements majeurs du niveau des besoins de production, de consommation et de commercialisation, à l'intérieur et à l'extérieur du Maroc. Ce constat appelle la nécessité d’un complément aux programmes pour sauver les familles et les entreprises dont l’état ne peut perdurer longtemps. Par ailleurs, le Maroc est appelé à revoir son positionnement par rapport aux transitions écologique et énergétique et aux groupes sociaux vulnérables, lors de la création nouvelles entreprises nationales ou l’installation d’entreprises étrangères.
Pour terminer les propositions, l'AMCD propose une adaptation rapide aux exigences adaptatives dans le domaine de l'eau. Selon, l'alliance, l'exposition du Maroc à la crise du coronavirus ne devrait pas affecter le niveau croissant et accéléré des efforts et des réformes juridiques, financières et institutionnelles prévus pour limiter les effets du changement climatique au Maroc. La loi de finances, doit mettre l’accent sur :